mardi , 6 juin 2023

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2020, l’année des espoirs

La nouvelle année 2020 est porteuse d’espoir pour les Algériens. Non pas que ces derniers en attendent quelques chose de particulier, mais il est entendu que ces derniers mois auront été un véritable moteur d’espoir. En dix mois, les Algériens se sont redécouverts et savent désormais qu’ils composent un peuple formidable que rien d’arrêtera. Cela dit, l’année finissante et celles qui l’ont précédé ont, chacune, apporté, son lot de développements et d’avancées dans beaucoup de domaines. A ce titre, les citoyens ont bien le droit d’avoir un préjugé positif et prétendre à une vie meilleure que celle qu’ils ont eue en 2019.
Et pour cause, beaucoup de villageois attendent leur raccordement au gaz de ville. D’autres, des citadins verront, cette année, de nouvelles réalisations destinées à améliorer leurs conditions de vie. Il n’existe présentement pas de gros projets en attente d’inauguration, mais ce n’est pas cela le plus important. Ce qu’il faut retenir, c’est la nouvelle dynamique qui semble s’inscrire dans l’agenda de l’Etat. Il n’y a évidemment pas que cela qui est en chantier dans notre pays. Des dizaines de milliers de familles auront de nouvelles habitations, des centaines de milliers d’automobilistes circuleront mieux dans les nouveaux axes de circulation qui seront réceptionnés en 2020.
Cela pour dire qu’il n’y a aucune raison d’écouter les oiseaux de mauvais augure qui nous annoncent, chaque année, la fin de l’Algérie. Quoi qu’en disent les détracteurs, le pays n’est ni au bord du gouffre et encore moins en situation de régression permanente. Les problèmes que nous rencontrons sont surmontables et si, sur certains domaines, nous ne réussissons pas très bien, cela ne veut pas dire que nous en mourrons. L’Algérie est bien trop solide pour s’écrouler aussi facilement.
Pour le malheur de ses détracteurs, la Nation se renforce dans tous les domaines, social, économique, culturel et bientôt politique, à travers le chantier qu’ouvrira très bientôt, le président de la République. A ce propos justement, contrairement à ce que distillent certains cercles sur le compte de l’Algérie, la démocratie marque des points. Les dix mois de manifestations, la présidentielle du 12 décembre dernier et les perspectives qui s’en suivent sont l’œuvre des Algériens. Ils en sont pleinement conscients et savent qu’ils sont sur la bonne voie.

Par Nabil.G