Les deux parties ont aussi évoqué le côté cour de la situation imposée par le COVID-19, à savoir que les mesures de confinement «ont vu certaines entreprises cesser leur activité ou sa réduction». Un état de fait «préjudiciable à l’emploi et à la production nationale».
Les travailleurs et leurs employeurs attendent ainsi des gestes significatifs de la part de l’Etat pour aider l’appareil économique à se relever très vite, sitôt l’épidémie dépassée. L’Union générale des travailleurs algériens (UGTA) est sortie, hier, de son silence et entend visiblement avoir un rôle sérieux dans la mobilisation nationale dans la lutte contre le COVID-19.
La première action de la centrale syndicale a consisté en la signature d’une déclaration commune avec plusieurs organisations patronales où il est fait référence de la mobilisation du syndicat aux côtés des organisations patronales à un ferme engagement et une mobilisation de tous, auprès des pouvoirs publics. Principale mission de cette union sacrée ; dépasser la situation sanitaire et économique difficile que traverse le pays suite à la pandémie du Covid-19. Dans le communiqué co-signé par les partenaires sociaux, on retiendra que les signataires de ladite déclaration «sont plus que jamais mobilisés et engagés auprès des pouvoirs publics pour dépasser cette situation sanitaire et économique difficile et demeurent engagés pour le renouveau économique du pays, tel que contenu dans le programme de Monsieur le président de la République et du Gouvernement, adopté par les deux chambres du Parlement». L’union est visiblement sans faille derrière le programme présidentiel. Et ce sont l’ensemble des partenaires du gouvernement dans la tripartites qui ont apposé leurs griffes au bas du doucement.
Ainsi, à côté du sceau de l’UGTA, on retrouve ceux de la Confédération générale des entreprises algériennes (CGEA), de la Confédération des industriels et des producteurs (CIPA), de la Confédération nationale du patronat algérien (CNPA), de l’Association générale des entrepreneurs algériens (AGEA), de l’Union nationale des entrepreneurs publics (UNEP) et du Forum des chefs d’entreprises (FCE).
On y découvre la ferme déterminations des uns et des autres de dépasser «cette situation difficile (et engager) un large processus de relance de l’économie nationale par un changement de paradigme et ce, à travers des réformes structurelles consacrant la préférence à l’entreprise nationale, la liberté d’initiatives, la levée des mesures administratives et bureaucratiques et un allègement des charges à même d’améliorer les niveaux de production et d’emplois et de contribuer ainsi à la réduction des importations». Il reste que cet engagement doit prendre en charge les préoccupations des travailleurs et des employeurs algériens quant aux conséquences de cette crise sur l’outil de production nationale et sur l’emploi. Ce facteur majeur qui a suscité cette union sacrée, amène les signataires à se dire conscients de ce contexte économique et social, non sans afficher un «engagement sans réserve pour une contribution à l’action des pouvoirs publics». Une posture dont l’Algérie a fortement besoin. Et pour cause, UGTA et patronat se mettent aux côtés du peuple «à travers des actions de solidarité en direction des populations et de soutien aux structures de santé et personnels soignants».
Le communiqué souligne également le soutien du syndicat et des organisations patronales aux mesures de confinement total ou partiel et de solidarité décidées par les plus hautes autorités. Et plus encore, ils mettent en évidence avec satisfaction les opérations d’approvisionnement des populations en produits alimentaires. Ils affirment leur «confiance, reconnaissance et encouragements aux personnels de tous les corps engagés dans la lutte contre cette pandémie et leur soutien aux décisions des pouvoirs publics, déplorant le fait que cette pandémie est intervenue dans un contexte marqué par un recul significatif et brutal des prix des hydrocarbures, principale ressource des revenus externes du pays».
Estimant que cette situation «aggrave la vulnérabilité de notre pays qui doit faire face à la fois aux contraintes internes et externes et aux besoins incompressibles de la population», les signataires ont indiqué que «l’entreprise nationale publique et privée en tant que créatrice de richesse et d’emplois, évolue dans un contexte difficile et rencontre un certain nombre de contraintes dont les charges d’exploitation courante obèrent sa trésorerie» et qu’elle «demeure attentive et réactive aux décisions des pouvoirs publics pour la préservation de l’emploi et la cohésion sociale».
Les deux parties ont aussi évoqué le côté cour de la situation imposée par le COVID-19, à savoir que les mesures de confinement «ont vu certaines entreprises cesser leur activité ou sa réduction». Un état de fait «préjudiciable à l’emploi et à la production nationale». Les travailleurs et leurs employeurs attendent ainsi des gestes significatifs de la part de l’Etat pour aider l’appareil économique à se relever très vite, sitôt l’épidémie dépassée.
La première action de la centrale syndicale a consisté en la signature d’une déclaration commune avec plusieurs organisations patronales où il est fait référence de la mobilisation du syndicat aux côtés des organisations patronales à un ferme engagement et une mobilisation de tous, auprès des pouvoirs publics. Principale mission de cette union sacrée ; dépasser la situation sanitaire et économique difficile que traverse le pays suite à la pandémie du Covid-19. Dans le communiqué co-signé par les partenaires sociaux, on retiendra que les signataires de ladite déclaration «sont plus que jamais mobilisés et engagés auprès des pouvoirs publics pour dépasser cette situation sanitaire et économique difficile et demeurent engagés pour le renouveau économique du pays, tel que contenu dans le programme de Monsieur le président de la République et du Gouvernement, adopté par les deux chambres du Parlement». L’union est visiblement sans faille derrière le programme présidentiel. Et ce sont l’ensemble des partenaires du gouvernement dans la tripartites qui ont apposé leurs griffes au bas du doucement.
Ainsi, à côté du sceau de l’UGTA, on retrouve ceux de la Confédération générale des entreprises algériennes (CGEA), de la Confédération des industriels et des producteurs (CIPA), de la Confédération nationale du patronat algérien (CNPA), de l’Association générale des entrepreneurs algériens (AGEA), de l’Union nationale des entrepreneurs publics (UNEP) et du Forum des chefs d’entreprises (FCE).
On y découvre la ferme déterminations des uns et des autres de dépasser «cette situation difficile (et engager) un large processus de relance de l’économie nationale par un changement de paradigme et ce, à travers des réformes structurelles consacrant la préférence à l’entreprise nationale, la liberté d’initiatives, la levée des mesures administratives et bureaucratiques et un allègement des charges à même d’améliorer les niveaux de production et d’emplois et de contribuer ainsi à la réduction des importations». Il reste que cet engagement doit prendre en charge les préoccupations des travailleurs et des employeurs algériens quant aux conséquences de cette crise sur l’outil de production nationale et sur l’emploi. Ce facteur majeur qui a suscité cette union sacrée, amène les signataires à se dire conscients de ce contexte économique et social, non sans afficher un «engagement sans réserve pour une contribution à l’action des pouvoirs publics». Une posture dont l’Algérie a fortement besoin. Et pour cause, UGTA et patronat se mettent aux côtés du peuple «à travers des actions de solidarité en direction des populations et de soutien aux structures de santé et personnels soignants».
Le communiqué souligne également le soutien du syndicat et des organisations patronales aux mesures de confinement total ou partiel et de solidarité décidées par les plus hautes autorités. Et plus encore, ils mettent en évidence avec satisfaction les opérations d’approvisionnement des populations en produits alimentaires. Ils affirment leur «confiance, reconnaissance et encouragements aux personnels de tous les corps engagés dans la lutte contre cette pandémie et leur soutien aux décisions des pouvoirs publics, déplorant le fait que cette pandémie est intervenue dans un contexte marqué par un recul significatif et brutal des prix des hydrocarbures, principale ressource des revenus externes du pays».
Estimant que cette situation «aggrave la vulnérabilité de notre pays qui doit faire face à la fois aux contraintes internes et externes et aux besoins incompressibles de la population», les signataires ont indiqué que «l’entreprise nationale publique et privée en tant que créatrice de richesse et d’emplois, évolue dans un contexte difficile et rencontre un certain nombre de contraintes dont les charges d’exploitation courante obèrent sa trésorerie» et qu’elle «demeure attentive et réactive aux décisions des pouvoirs publics pour la préservation de l’emploi et la cohésion sociale».
Les deux parties ont aussi évoqué le côté cour de la situation imposée par le COVID-19, à savoir que les mesures de confinement «ont vu certaines entreprises cesser leur activité ou sa réduction». Un état de fait «préjudiciable à l’emploi et à la production nationale». Les travailleurs et leurs employeurs attendent ainsi des gestes significatifs de la part de l’Etat pour aider l’appareil économique à se relever très vite, sitôt l’épidémie dépassée.
Anissa Mesdouf