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L’Algérie abrite du 25 au 27 septembre le congrès de la Fédération internationale du diabète pour MENA

L’Algérie abritera, du 25 au 27 septembre en cours, le congrès de la Fédération internationale du diabète (FID) pour la région Moyen-Orient et Afrique du Nord (MENA), en présence des délégations de 30 pays, a-t-on appris, mercredi, auprès des organisateurs.

L’événement prévu au Centre culturel de Djamaa El Djazair, est organisé par l’Association du Diabète, représentant l’Algérie au sein de la Fédération Internationale du Diabète pour la région MENA, en coordination avec la Société nationale d’obésité et des maladies métaboliques (SNOMM), ainsi que la Fondation nationale de lutte contre le diabète.
Placée sous le patronage du ministre de la Santé, cette rencontre permettra «un échange riche entre experts nationaux et internationaux, autour des enjeux cruciaux liés à la progression du diabète et à ses retombées économiques dans la région MENA et en Algérie».
Les sessions prévues mettront en lumière les avancées thérapeutiques, les bonnes pratiques de prise en charge et les recommandations internationales adaptées aux réalités sanitaires et socio-économiques de la région.
L’expertise algérienne sera, également, valorisée à travers une large contribution des praticiens algériens, lors des débats.
Plusieurs communications seront axées sur les progrès accomplis en Algérie en matière de prévention, de dépistage précoce et de prise en charge multidisciplinaire du patient diabétique, ainsi que sur les initiatives visant à renforcer l’accès aux soins et à l’éducation thérapeutique, soulignent les organisateurs.
Les débats aborderont, également, l’ampleur de la progression du diabète dans la région et ses conséquences économiques, en mettant en exergue «l’urgence d’investir dans la prévention, l’éducation sanitaire et les politiques publiques intégrées, afin de limiter l’épidémie et ses répercussions socio-économiques», ajoute la même source.
Le congrès sera sanctionné par une série de recommandations relatives à l’harmonisation des pratiques cliniques, au suivi des patients, à l’intégration des stratégies de prévention, au renforcement de la formation continue des professionnels de la santé, ainsi que l’intensification de la collaboration régionale, a-t-on conclu.

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