A la une

Arrivée de 11 citoyens algériens ayant participé à «la flottille Soumoud» de solidarité avec Ghaza

Onze (11) Algériens ayant participé à «la flottille Soumoud» de solidarité avec les Palestiniens de Ghaza et qui ont été évacués via le territoire du Royaume de Jordanie, pays frère, sont arrivés, jeudi, à Alger après que l’ambassade d’Algérie à Amman s’est chargée de leur rapatriement.

Dans une allocution au salon d’honneur de l’aéroport international Houari Boumediene, le secrétaire d’Etat auprès du ministre des Affaires étrangères, chargé de la Communauté nationale à l’étranger, M. Sofiane Chaib, a exprimé sa grande satisfaction d’accueillir 11 citoyens algériens ayant participé à «la flottille Soumoud», en provenance de la capitale jordanienne via un vol de la compagnie nationale Air Algérie.
«L’opération d’évacuation a été supervisée par les autorités jordaniennes, à la demande de l’Algérie, en coordination étroite avec l’ambassade d’Algérie à Amman, qui a accompagné toutes les étapes de l’opération et veillé, en même temps, à assurer toutes les formes de soutien à nos concitoyens, et ce en exécution des instructions des hautes autorités du pays».
Il a, dans ce contexte, affirmé que «tous ces efforts s’inscrivent dans le cadre de la mobilisation de l’Etat algérien, conformément aux instructions du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, pour mettre à disposition tous les moyens et assurer le retour de nos concitoyens, sains et saufs, au territoire national et dans les meilleures conditions possibles».
A cette occasion, le Secrétaire d’Etat a réitéré «les remerciements et la gratitude de l’Algérie aux autorités jordaniennes pour leur entière coopération en vue d’assurer le succès de cette opération et le retour de nos ressortissants, sains, au pays».
De leur côté, les ressortissants algériens rapatriés ont salué leur «prise en charge totale» par les autorités algériennes, évoquant, à cette occasion, les atrocités commises par l’occupation sioniste à l’encontre des prisonniers palestiniens, durant leur période de détention dans les prisons de l’occupant».

Articles similaires

Bouton retour en haut de la page