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Coupe d’Algérie (1/8 de finale) Réda Bendriss : «L’ES Mostaganem est focalisée sur l’accession, mais jouera à fond la coupe»

L’ES Mostaganem veut poursuivre sur sa lancée en accueillant, vendredi (22h00), le NA Hussein-Dey dans le cadre des huitièmes de finale de la Coupe d’Algérie de football, même si sa priorité va vers l’accession en Ligue 1 Mobilis, a indiqué, jeudi, son entraineur Réda Bendriss.

Ayant réussi, à l’issue de la précédente journée du championnat de L2, à porter à cinq points l’écart qui le sépare de son dauphin dans le groupe Centre-ouest, le RC Kouba, l’ESM aborde sa rencontre de l’épreuve coupe « avec un moral au beau fixe », assure son coach à l’APS.
« Notre objectif est de conserver notre place de leader qui nous permet d’accéder en Ligue 1, mais cela ne nous empêche pas de jouer à fond nos chances dans l’épreuve coupe qui a un charme spécial auprès des supporters de tous les clubs », a encore dit le premier responsable techniques des « gars de Mosta ».
Les Vert et Blanc, qui restent sur huit victoires de rang en championnat, ont déjà battu le NAHD (12e au classement) à domicile sur le score sans appel de 4-0, lors de la sixième journée de cette compétition.
Les deux équipes vont s’affronter à nouveau la semaine prochaine à Alger dans un match de mise à jour de la 21e journée.
« Les matchs de coupe sont totalement différents de ceux du championnat.
Il ne faut pas se fier au résultat des deux équipes au cours de la phase aller, car le NAHD va certainement présenter un autre visage dans ce rendez-vous de la coupe », a prévenu l’entraineur de l’ESM. Cependant, Bendriss reste persuadé que ses protégés, qui ont le vent en poupe, « doivent profiter de l’avantage du terrain et du public pour valider leur billet pour les quarts de finale », tout en les mettant en garde contre tout excès de confiance.
L’ES Mostaganem, dont la dernière fois où elle a joué parmi l’élite remonte à la saison 1998-1999, a atteint à deux reprises la finale de la coupe d’Algérie lors des saisons 1962-1963 et 1964-1965, sans pour autant goûter à la joie du sacre, rappelle-t-on.

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