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Ligue 2 : invaincue en 7 matchs, l’ASM Oran n’a pas encore assuré son maintien

L’entraineur de l’ASM Oran, Hadj Merine a indiqué lundi que son équipe aura besoin de collecter d’autres points pour assurer son maintien en Ligue deux de football après avoir réussi à obtenir un total de 19 points sur 21 possibles lors des sept précédentes journées.

« Certes, nous sommes dans une meilleure situation qu’à la phase aller, où nous avons occupé pour de longues journées le bas du classement, mais nous aurons encore besoin d’engranger d’autres points pour éviter toute mauvaise surprise en fin de saison », a-t-il déclaré à l’APS.
Auteur de six victoires de suite par lesquelles la formation de la capitale de l’Ouest a sonné le réveil, l’ASMO a été stoppée dans son élan samedi passé à domicile par la JSM Tiaret (2-2), dans un match qui a vu les Oranais laisser filer deux précieux points dans les dernières minutes de la rencontre.
Une contre-performance que Hadj Merine a regretté, « car nous voulions enchaîner un septième succès de rang », a-t-il souligné, ajoutant que même le nul réalisé pour la circonstance « est bon à prendre, d’autant plus que l’adversaire du jour n’est autre que le leader du groupe ».
Le jeune technicien est revenu, au passage, aux conditions dans lesquelles il a préparé ce match, indiquant que ses joueurs et lui étaient  »sous forte pression ».
« Beaucoup de bruit a couru avant cette partie, mais nous tenions à respecter l’éthique sportive.
Ce sera aussi notre mot d’ordre jusqu’à la fin de l’exercice, même si nous parvenons à assurer notre maintien dans les meilleurs délais », s’est-il engagé.
Passée à côté de la plaque durant la quasi-totalité de la phase aller, la formation de M’dina J’dida a attendu la 13e journée pour signer sa première victoire de la saison.
Depuis, l’équipe est d’ailleurs invaincue ce qui lui a permis de réussir une remontée spectaculaire au classement pour se hisser actuellement à la 9e place après 19 journées.
Totalisant 25 points, les Vert et Blanc comptent huit unités d’avance sur la zone rouge, ce qui pousse leur entraineur à insister sur l’obligation de « rester sur ses gardes ».

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