A l’occasion de la semaine mondiale de l’entreprenariat : le président de la République annonce un concours national des start-up
«Nous sommes convaincus que la réalisation de l’essor économique escompté passe par la confiance de l’Etat en ses jeunes», dira le chef de l’Etat qui n’omet pas de renouveler sa confiance dans les capacités des jeunes opérateurs «à être acteurs du changement et parties prenantes du développement national».
L’Algérie prévoit l’organisation d’un concours national dédié aux strat-up. C’est ce qu’a révélé le président de la République dans un discours lu en son nom par le ministre de l’Economie de la connaissance, des Start-up et des Micro-entreprises. L’objectif de la démarche consiste à «honorer les réalisations des jeunes dans l’Algérie nouvelle». Il va de soi que le but de la démarche est de promouvoir l’esprit d’innovation parmi les porteurs de projets liés à la nouvelle économie. Dans son allocution, présentée lors d’une rencontre organisée au Palais des nations (Alger), le président de la République a invité «à cette occasion», l’ensemble de la jeunesse algérienne versée dans l’entre partenariat «à continuer à saisir les opportunités offertes dans votre pays, en bravant les difficultés par la persévérance et la détermination». Un appel qui souligne la volonté présidentielle de faire émerger une génération d’entrepreneurs jeunes et entreprenants. «L’Algérie entend s’ériger en pôle africain en matière de technologie et d’innovation, grâce à la dynamique des start-up», a indiqué le chef de l’Etat, comme pour désigner l’objectif à atteindre à une jeunesse dynamique et consciente des enjeux du moment. Il est en effet clair que la maîtrise de l’économie de la connaissance est la principale clé au développement et à l’émergence économique du pays. Comprendre cette relation équivaut à la solution de l’équation la plus importante du moment. En cela le président de la République est confiant dans les compétences de la jeunesse algérienne.
«Nous sommes convaincus que la réalisation de l’essor économique escompté passe par la confiance de l’Etat en ses jeunes», dira justement le chef de l’Etat qui n’omet pas de renouveler sa confiance dans les capacités des jeunes opérateurs «à être acteurs du changement et parties prenantes du développement national».
Anissa Mesdouf