CAN 2025 | Algérie –Liberia (Ce dimanche au stade Hocine Ait-Ahmed de Tizi-Ouzou) : faire oublier le «couac» de Malabo
Après le décevant match face au team du Nzalang Nacional , Petkovic aura-t-il la primeur de terminer cette phase de poule en roue libre ?
Une question qui taraude les aficionados des Verts qui semblent , quoique la qualification acquise , outrés par un jeu tantôt séduisant , tantôt terne surtout devant des équipes imbriqués dans le top 100 ou au delà du football africain , un dilemme qui montre que la mayonnaise version le bosnien n’ a pas encore pris à l’exemple de ce match joué sur le terrain de Malabo face à l’équipe de Micha qui a failli nous suspendre n’eut été le réflexe inouï du revenant Oukidja qui sauva sa cage d’un but tout fait des locaux à la 45’ du premier half.
Petkovic abusa beaucoup d’un catenaccio qui n’a guère plaidé envers des Fennecs naviguant en mode yoyo , et qui n’ont eu qu’ une seule occasion qui fut à l’apanage de Mahrez qui ne donna rien confirmant bel et bien que le coach n’est pas encore sorti de l’auberge à la vue des éliminatoires de la CM 2026 qui il faut le dire n’ont pas été entamés sur les chapeaux de roue en se faisant clouer le bec at home par la Guinée qui profitera au petit poucet Botswanais de prendre la casaque de co-leader avec les Verts où seul le premier de la poule aura droit de filer directement aux Amériques.
Pour la joute de cet après midi , le suisso- bosnien devra tout de même donner la chance aux locaux pour essayer un tant soit peu de faire sortir de l’ornière deux ou trois bons joueurs qui seront présents à la suite de l’expédition ‘’America ‘’ qui sera un long et dangereux périple qui n’a pas encore divulgué un fortiche digne de ce nom malgré un groupe parsemé d’équipes pas du tout fortes sur le …papier .
Les Fennecs doivent se ressaisir le plus tôt possible pour remettre le galion sur les flots à bon port et surtout ne point louper une primeur qui tient à cœur toute la famille du foot national qui ne veut point gouter à une troisième désillusion de ne point être de la fête du football mondial après le ratage incommensurable de deux éditions successives à l’instar en Russie 2018’ et au Qatar 2022 .
A. Remas