Chantiers d’habitations à l’arrêt à Aïn El Türck : l’embourbement!
Il semble que la situation à Aïn El Türck soit préoccupante, surtout avec l’arrivée des pluies qui exacerbe les problèmes d’embourbement. Les déchets et les matériaux de construction contribuent à rendre la circulation difficile, tant pour les véhicules que pour les piétons.
L’absence de bitumage dans certains îlots résidentiels, à l’instar de quelques coopératives immobilières à Bouisseville, combinée à des questions administratives non résolues, complique encore davantage la vie quotidienne des résidents.
Cela souligne l’importance de la gestion des infrastructures et de l’environnement, particulièrement dans des zones en développement. Les autorités locales devraient prendre des mesures pour nettoyer les voies, régulariser les situations administratives et envisager des solutions durables pour améliorer les conditions de circulation. Ceci dit, la réhabilitation de la chaussée peut représenter un coût considérable pour la trésorerie communale.
Les dépenses liées à l’entretien et à la réhabilitation des infrastructures sont souvent élevées, surtout si les dommages sont importants en raison du manque d’entretien préventif. De plus, si la situation s’aggrave avec des conditions climatiques extrêmes, cela pourrait engendrer des coûts supplémentaires pour les réparations urgentes.
La commune pourrait également faire face à des plaintes de la part des citoyens concernant la sécurité et l’accessibilité des routes, ce qui pourrait engendrer des tensions. Il serait donc judicieux pour les responsables locaux d’établir un plan de financement durable pour anticiper ces dépenses et envisager des partenariats avec d’autres entités ou des financements extérieurs pour alléger le fardeau financier.
De plus, l’instauration d’un programme de nettoyage régulier et de gestion des déchets pourrait contribuer à prévenir de futurs problèmes d’embourbement. Il y a lieu de rappeler que plusieurs arrêtés communaux et de wilaya avaient été décrétés pour inciter les propriétaires d’habitations encore en chantier, d’achever les travaux conformément aux délais prescrits dans le permis de construire. Mais il semble que, pour des raisons diverses, peu de propriétaires ont fait fi de cet avertissement des pouvoirs locaux.
Karim Bennacef
