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Ouverture de la rencontre arabe sur l’innovation chez les jeunes : «La jeunesse est au cœur du programme du président de la République»

La rencontre arabe sur les innovations des jeunes s’est ouverte hier, à l’école de tourisme « Eshra » en présence du ministre de la Jeunesse et des sports Abderrahmane Hammad ainsi que des représentants des ministères de l’enseignement supérieur, la culture et des représentants de l’Observatoire nationale de la société civile et des membres du Haut conseil de la jeunesse.

Lors de son intervention, le ministre a affirmé que l’organisation de cet événement coïncide avec une période sensible que traverse la nation arabe, vu les multiples défis qui nécessitent plus de développement et de progrès et d’unité. Le ministre a dénoncé les crimes perpétrés par les sionistes à Ghaza. Dans son discours, il a indiqué que « l’innovation est enracinée dans chaque jeune. Dans chaque société ce sont les jeunes qui peuvent accompagner le progrès technologique rapide dans notre vie quotidienne. La créativité, la jeunesse, l’innovation, ce sont des notions intersectorielles, internationales et intercontinentales. La créativité nous permet d’avoir de nouvelles idées, et l’innovation de les transformer en solutions qui apportent une valeur ajoutée pour un secteur ou une société, où la jeunesse est la clé de la porte de l’avenir » dira le ministre, qui a rappelé que « la jeunesse représente la majorité du peuple algérien et occupe une place charnière dans le programme du président de la République Abdelmadjid Tebboune et son programme social et économique, où la jeunesse est le cœur du changement positif », ajoute Abderahman Hammad. Lors de cette même  intervention, le ministre a affirmé que « l’investissement dans la jeunesse contribue au développement durable et rassure les générations futures. Cette vision qui s’est concrétisée sur le terrain avec les réalisations que ce soit des infrastructures dans les quatre coins du pays ou l’accompagnement de ces structures de jeunes par les moyens humains  » conclue-t-il.

Fethi Mohamed

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