Le dernier championnat d’Algérie d’apnée sportive indoor qui s’est déroulé à Tlemcen s’est soldé par la victoire du team du club nautique de Sidi Moussa d ‘ Oran et ce par équipes Dames et Messieurs et aussi en individuel.
Louerrad Mohamed – Ramzi s’est distingué en accaparant sa première médaille d’or en mono palme tout en battant le record d’Algérie dans sa spécialité (127M.), cette victoire rehaussera le bilan positif du club de Sidi Moussa d’Oran en raflant presque tous les titres mis en jeu devant d’autres clubs de la Ligue d’Oran et de plusieurs Ligues du territoire national.Rappelons que ce médaillé d’or a rejoint le club de Sidi Moussa en 2022 et a aussi pratiqué la chasse sous marine en individuel pendant deux ans, il a aussi pratiqué la natation durant sept ans et cela durant sa scolarité (de 7 à 14 ans), en somme un véritable engouement avec les sports nautiques qui lui collent aux basques et ce comme une véritable seconde nature.
Né le 3 / 12/1997 à Oran, actuellement délégué médical, il ne veut point s’arrêter en si bon chemin et veut surtout s’auréoler dans un autre registre qu’est la coupe d’Algérie qui aura lieu en fin d’année et surtout offrir à son club d’autres médailles pour confirmer sa médaille en vermeil qu’il a accaparé lors du dernier championnat d’Algérie, en somme un autre challenge qui peut lui valoir une autre moisson de plus.Louerrad Mohamed – Ramzi remercie MM.Hmida Benaboura (coach), Mohamed Mkharbèche (assistant) et Bilal Benzair (capitaine d’équipe et adjoint) pour avoir su lui inculquer l’abc de cette discipline, Louerrad a plus d’un tour dans son sac et semble décidé à se spécialiser aussi dans le bi palme et apnée statique, pour lui c’est du tout bénéfice et veut ainsi améliorer ses autres performances en chasse sous marine et représenter dignement l’Algérie dans les compétitions internationales.
Il n’omettra pas aussi d’évoquer l’intérêt environnemental pour sauver la mer en effectuant aussi avec d’autres bénévoles des campagnes anti pollutions au niveau de nos rivages qui laissent à désirer.
A.Remas