EDITO

Un engagement irréversible

La politique sociale de l’État algérien est un principe immuable qui puise ses racines de notre glorieuse Guerre d’indépendance et des valeurs du 1er novembre 1954. Une conviction enracinée dans notre pays depuis l’indépendance et qui connaît sa plénitude depuis l’arrivée aux affaires du Président Abdelmadjid Tebboune.
Un choix matérialisé sur le terrain à travers différents et multiples appuis aux classes nécessiteuses et moyennes de la société. Cette politique est à saluer notamment en ces temps de crises, caractérisé par un marché international où les prix des matières premières et autres sont au plus haut à cause d’une situation géopolitique des plus tendue sur la scène internationale, et aussi à cause des répercussions de la crise sanitaire engendrée par la pandémie du coronavirus.
Mais malgré ces conditions des plus compliquées, l’État algérien n’a pas abandonné sa politique de logements qui a permis à des millions d’Algériens, de toutes conditions, de jouir de logements sociaux décents ou d’autres soutenus grandement par la contribution financière de l’État algérien.
L’allocation chômage décidée par le Président Tebboune a permis à des millions de jeunes et moins jeunes de vivre dignement et de pouvoir ainsi se préparer à trouver des débouchés et reprendre une vie leur permettant de mieux appréhender l’avenir.
Dans ce contexte, le Premier ministre a encore une fois confirmé face aux députés ces choix de l’État algérien, rappelant que le caractère social de l’Etat avait été qualifié par le Président de la République de doctrine ancrée, citant «les mesures visant la relance de l’activité économique, l’allègement des charges sur les entreprises impactées et le soutien du pouvoir d’achat du citoyen», ajoutant que le budget annuel affecté aux transferts sociaux a dépassé les 5.000 milliards DA,
et que la dépense fiscale a atteint ces deux dernières années une moyenne annuelle de 440 milliards de dinars, ce qui dénote «la détermination de l’Etat à préserver son caractère social», a martelé Aïmene Benabderrahmane.
Dans le même cadre, le Premier ministre a rappelé la mesure prise par le Gouvernement en application d’une instruction du président de la République relative à l’exonération des salaires inférieurs à 30.000 DA de l’Impôt sur le revenu global (IRG) et ce dans le but d’augmenter le pouvoir d’achat du citoyen.
Une mesure qui a profité à plus de 5 millions de personnes, dont 2,6 millions de retraités. L’autre mesure rappelée par le chef de l’exécutif a été la réduction des taux de l’impôt sur le revenu global (IRG), qui a touché plus de 9 millions de citoyens pour une dépense fiscale de plus de 195 milliards DA.
Un engagement social ferme des pouvoirs publics qui prouve si besoin en est la détermination du gouvernement à un partage équitable des richesses du pays et à assumer cette politique quelles qu’en soient les sacrifices.
Par Abdelmadjid Blidi

Articles similaires

Voir Aussi
Fermer
Bouton retour en haut de la page