Oran

Aux premières averses pluviales à Aïn El Türck : la chaussée, première victime de la malfaçon

Aux premières averses pluviales, et cela est devenu coutumier à Aïn El Türck, la chaussée devient la première victime de la malfaçon qu’il est de plus en plus difficile de dissimuler ou de cacher au regard, tant les imperfections et les dégâts sont criards.

Les pans de bitume qui se décollent, les sillons qui se creusent, les nids de poule qui surgissent, reflètent en fait, l’état d’esprit dans lequel sont effectuées les opérations d’entretien de la chaussée, et qui s’assimilent plus à du replâtrage.
Les conséquences quant à elles de cet état de fait, sont nombreuses, parfois tragiques mais surtout coûteuses, en santé pour le simple citoyen, et financièrement pour les automobilistes.
Les états des véhicules laissent à désirer à force de cahoter sur les bosses et les crevasses, sans oublier qu’il va fal loir slalomer pour contourner les flaques d’eau et parfois, pour éviter un piéton.
Citée en première, certes, la chaussée est censée assurer les déplacements des usagers et le transport des marchandises, quelles que soient les conditions météorologiques, dans des conditions de sécurité et de confort adaptées au type d’itinéraire.
Outre son rôle d’un point de vue mécanique, les conditions environnantes, soit le citoyen, les véhicules motorisés, sont tributaires de l’état de bonne santé de la chaussée que l’on a tendance à négliger, notamment sur les routes secondaires de villes.
Nonobstant la question sanitaire, la trésorerie locale, en est également une victime collatérale, pour ce que coûtent les opérations de réhabilitation quand elles sont conformes.
Karim Bennacef

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