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Discours du président de la République au Sommet arabe à Manama : la cause palestinienne a besoin d’une Nation arabe forte à l’avant-garde de ses défenseurs

Le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune a affirmé, jeudi, que « la cause palestinienne a, aujourd’hui plus que jamais, besoin d’une Nation arabe unie et forte, qui soit à l’avant-garde de ses défenseurs et aux premiers rangs de ceux qui œuvrent pour l’établissement d’un Etat palestinien indépendant et souverain, comme solution juste, pérenne et définitive au conflit arabo-israélien », soulignant que « l’Algérie a œuvré, depuis son adhésion au Conseil de sécurité, à rehausser la place de la cause palestinienne au rang de cause centrale et de plus ancienne question inscrite à l’agenda de l’ONU ».

Dans une allocution lue en son nom par le ministre des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l’étranger, Ahmed Attaf, à l’ouverture des travaux de la 33e session du Sommet arabe à Manama (Bahreïn), le président de la République a indiqué que « le Sommet arabe se réunit, aujourd’hui, dans un contexte international difficile et une conjoncture régionale de plus en plus complexe, la crise aiguë qui a frappé, de plein fouet, les relations internationales étant désormais une réalité dont les répercussions se font ressentir dans les quatre coins du monde ».
Le président de la République a ajouté que « la paralysie des mécanismes d’action internationale multilatérale, en tête desquels notre Organisation onusienne et son organe central, le Conseil de sécurité, n’en est qu’une preuve de plus de la gravité de cette crise aiguë qui hypothèque le présent et l’avenir de la paix, de la sécurité, du développement et de la prospérité dans le monde ».
Concernant la région arabe, le président de la République a affirmé que « notre région arabe traverse, elle aussi, une conjoncture charnière, chargée de défis et de crises dont la dangerosité et la complexité se traduisent par les menaces existentielles qui guettent nos frères à Ghaza et les dangers auxquels fait face la cause palestinienne, visant sa liquidation ».
« L’Algérie a œuvré, depuis son adhésion au Conseil de sécurité, par fidélité et avec dévouement, à rehausser la place de la cause palestinienne au rang de cause centrale et de plus ancienne question inscrite à l’agenda de notre Organisation onusienne, mais aussi en tant que plus importante question à placer en tête des priorités de la Communauté internationale, et à soutenir en mobilisant tous les efforts nécessaires, eu égard à la place qu’elle occupe dans les cœurs de nos peuples », a poursuivi le président de la République.
Dans ce contexte et outre les exigences dictées par la conjoncture actuelle en termes d’intensification des pressions pour mettre fin à l’agression israélienne, garantir l’acheminement des aides humanitaires et faire cesser la déportation des Palestiniens, poursuit le Président de la République, « notre ferme conviction, en Algérie, est que: l’après-guerre à Ghaza doit être complètement différent et opposé à l’avant-guerre, et que l’après-guerre à Ghaza appelle l’unification des rangs, la fédération des énergies et la mobilisation des efforts pour la relance d’un règlement du conflit qui soit sous-tendu par des bases justes, pérennes et définitives, conformément aux instruments internationaux auxquels a adhéré la Communauté internationale, dont des références, des garde-fous et une Légalité immuable ».
« L’après-guerre à Ghaza doit, indéniablement, donner naissance au Projet national palestinien, consistant en l’édification d’un Etat palestinien indépendant, souverain, sans restrictions, ni conditions, ni entraves aucunes », a-t-il souligné.
« Nous accueillons favorablement l’élan grandissant des reconnaissances officielles de l’Etat de Palestine et le soutien accru apporté au projet de son admission en tant qu’Etat membre de plein droit à l’ONU », a-t-il ajouté précisant que « la décision historique adoptée, il y a quelques jours, par l’Assemblée générale de l’ONU, reflète dans sa teneur et ses objectifs une vérité historique, une vérité éclatante que vient, fort heureusement, de reconnaitre la Communauté internationale tout entière, à savoir que le fond du conflit palestino-israélien consiste en le sabotage du Projet national palestinien et que le règlement de ce conflit passe par la concrétisation de ce projet et l’accélération de l’édification de l’Etat de Palestine ».
Dans le même sillage, le président de la République a réitéré son appel au Conseil de sécurité à l’effet de « reconsidérer le dossier d’admission de l’Etat de Palestine, permettre à la Communauté internationale de se racheter et saisir cette opportunité pour rendre justice au peuple palestinien et lui permettre de jouir de ses droits ».
S’agissant de la situation au Soudan, en Libye, au Yémen, et dans le reste des pays arabes, privés de paix et de sécurité, le président de la République a souligné qu' »elle en appelle, elle aussi, à un rôle arabe majeur qui puisse éteindre le feu de la discorde entre les enfants d’un même pays et les prémunir contre les menaces et les dangers qui les guettent, du fait des interventions étrangères exacerbées, et de plus en plus féroces ».
« L’efficacité de l’action arabe commune et son efficience en cette conjoncture particulière et les grands défis qu’elle véhicule, impose de placer le dossier de réforme de la Ligue arabe en tête des priorités, une réforme dont l’urgence est de plus en plus pressante, d’autant que les motifs sont désormais connus de tous », conclut le président de la République.
(APS)
58360/58392/58836/118 /296 00000 33e Sommet arabe: appel à un cessez-le-feu immédiat dans la bande de Ghaza (déclaration finale) La Ligue des Etats arabes a appelé, jeudi, à un cessez-le-feu immédiat dans la bande de Ghaza, soumise depuis le 7 octobre 2023 à une sauvage agression sioniste, selon la déclaration finale adoptée à l’issue de la 33e session de son sommet à Manama (Bahreïn).
La « Déclaration de Bahreïn », adoptée par les 22 membres de la Ligue arabe, exige l’arrêt immédiat du génocide que commet l’entité sioniste dans la bande de Ghaza et qui a fait 35.272 martyrs palestiniens, en plus de 79.205 blessés.
Le document condamne, en outre, « vigoureusement » les entraves imposées par l’entité sioniste « aux efforts pour la concrétisation d’un cessez-le-feu dans la bande de Ghaza et son escalade militaire continue à travers l’extension de son agression vers la ville palestinienne de Rafah, en dépit des mises en garde internationales concernant les conséquences humanitaires catastrophiques » de cette agression.
Les membres de la Ligue des Etats arabes ont mis l’accent sur « la nécessité de stopper l’agression contre la bande de Ghaza, du retrait des forces de l’occupation (…) de toutes les parties de l’enclave (et) la levée du siège qui leur est imposé ».

(APS)
55773/500/371/770 000000000

(APS)
58360/331 /296 00000000000 M. Attaf s’entretient à Manama avec le Chef du gouvernement libanais chargé de gérer les affaires courantes Le ministre des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l’étranger, Ahmed Attaf a eu, jeudi, des entretiens bilatéraux avec le Chef du gouvernement libanais chargé de gérer les affaires courantes, Najib Mikati, en marge de sa participation en qualité de représentant du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, aux travaux du Sommet arabe à Manama, a indiqué un communiqué du ministère.
Lors de ces entretiens, les deux parties ont évoqué plusieurs dossiers relatifs aux relations de coopération économique entre l’Algérie et le Liban, ainsi que les voies et moyens de leur promotion à de plus vastes perspectives à même de répondre aux aspirations des deux peuples frères, a conclu le communiqué.

(APS)
58033/331/172 00000000

(APS)
59770/440 0000000000 AAPI: De grandes entreprises asiatiques souhaitent investir en Algérie De nombreuses grandes entreprises asiatiques souhaitent s’implanter en Algérie et y investir dans divers domaines, a indiqué jeudi à Alger, le Directeur général de l’Agence algérienne de la promotion de l’investissement (AAPI), Omar Rekkache, qui a rappelé les profondes réformes que connait le climat des affaires en Algérie.
M. Rekkache s’exprimait dans une allocution prononcée lors d’une conférence organisée par la Délégation de l’Union Européenne en partenariat avec l’AAPI, sous le thème « Explorer les nouvelles opportunités d’investissement et de Nearshoring en Algérie », qui s’est déroulée en présence du ministre de l’Industrie et de la production pharmaceutique, Ali Aoun, du Directeur général de la Banque Nationale de l’Habitat, Ahmed Belayat, du Directeur général des Douanes, le Général Major Abdelhafid Bakhouche, du président du Conseil du renouveau économique algérien (CREA), Kamel Moula et de l’Ambassadeur de l’Union européenne en Algérie, M. Thomas Eckert, ainsi que des représentants de plusieurs départements ministériels et des Directeurs généraux d’organismes publiques et entreprises économiques.
A cette occasion, M. Rekkache a précisé que  »plusieurs méga-entreprises, discutent de l’implantation de leurs investissements en Algérie, notamment dans le domaine de l’industrie sidérurgique, du métal et de l’aluminium, avec un montant potentiel d’investissement s’élevant à 6 milliards de dollars pour chaque projet ».
Ces entreprises font partie de plus de 100 firmes étrangères ayant exprimé leur volonté d’investir en Algérie, dont 45 relevant des pays de l’Union européenne, et ce dans diverses activités, telle que l’industrie manufacturière, l’agroalimentaire, les énergies renouvelables, et l’économie circulaire, d’autant qu’un travail est en cours avec les porteurs des projets proposés, portant examen des mécanismes assurant leur mise en œuvre effective.
Evoquant les investissements enregistrés par les guichets de l’Agence depuis sa création en 2022 à ce jour, le Directeur général de l’AAPI a révélé l’inscription de 7.000 projets d’investissements déclarés, mettant en avant « le suivi et l’accompagnement de la mise en œuvre de ces projets, outre la réunion des conditions de leur concrétisation sur le terrain ».
En ce qui concerne les projets liés aux étrangers enregistrés par l’Agence pendant la période sus-mentionnée, leur nombre s’élève à 123 projets, dont 44 investissements directs étrangers (IDE) et 79 projets en partenariat avec des acteurs locaux.
Selon M. Rekkache, ces chiffres « sont des indicateurs positifs, résultant des réformes initiées par le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, visant à améliorer le climat des investissements et reposant sur l’établissement des bases essentielles permettant de restaurer la confiance des investisseurs locaux et étrangers ».
Parmi ces mesures figure la stabilité des législations et du cadre institutionnel régissant les investissements, ainsi que la consolidation des principes et des garanties assurant leur protection, tout en supprimant tous les obstacles entravant l’entrée des IDE, outre la simplification et la facilitation des procédures.
Des efforts ont, également, été déployés pour éliminer toutes les formes de bureaucratie en généralisant la numérisation et en alignant la politique de promotion de l’investissement sur les orientations stratégiques et les objectifs majeurs de la politique économique de l’Etat, selon le Directeur général.
A cette occasion, M. Rekkache s’est félicité des capacités dont dispose l’Algérie, lui permettant d’être « la destination préférée et une porte d’entrée pour des investissements réussis et rentables pour toutes les parties », appelant les entreprises européennes à exploiter ces conditions en vue de la domiciliation de leurs investissements en Algérie.
Pour rappel, cette conférence s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre du programme de coopération entre le ministère des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l’étranger et l’UE à travers le projet « Partenariat Algéro-Européen pour un Investissement durable », lancé en 2023 pour renforcer le partenariat économique entre les deux parties à travers la promotion des IDE et les projets de raccourcissement des chaînes d’approvisionnement européennes.
Dans le cadre de ce projet, plusieurs missions ont été effectuées en Belgique et au Portugal, en attendant l’Italie, la Suède et d’autres pays à partir de la semaine prochaine.
La mission algérienne œuvre « selon une approche proactive, ciblant les entreprises européennes activant dans des secteurs prioritaires pour l’économie nationale, afin de présenter les opportunités d’investissement en Algérie, ainsi que les avantages, les facilitations offertes et les garanties accordées », selon le même responsable.

(APS)
58888/58807/118/253 000000000000000
(APS)
58007/58807/300//330 0000000000 Zones franches : préparatifs pour la création de zones franches à Jijel, El Tarf et Tébessa (Zitouni) Les préparatifs pour le lancement de zones franches au niveau du port de Djen Djen (w.
Jijel), de Bouchebka (w.Tébessa) et de la wilaya d’El Tarf sont en cours, et ce dans le cadre des efforts visant à augmenter le volume des échanges commerciaux, notamment avec les pays voisins, a indiqué jeudi à Alger, le ministre du Commerce et de la Promotion des exportations, Tayeb Zitouni.
Lors d’une plénière consacrée aux questions orales à l’Assemblée populaire nationale (APN), M. Zitouni a affirmé que les préparatifs étaient en cours pour « le lancement d’une zone franche à caractère commercial et industriel, dans le cadre du projet d’extension du port de Djen Djen, avec tous ses aspects techniques, économiques et juridiques, avec l’examen de la possibilité de son extension pour englober la zone industrielle de Bellara ».
Pour la gestion de cette zone aux normes internationales, une réflexion est engagée pour établir un partenariat avec des sociétés internationales, chinoises et turques en particulier, au regard de leur riche expérience en la matière.
Selon le ministre, deux autres zones franches ont été programmées avec la Tunisie, « avec laquelle nous avons des relations fortes et d’importants échanges commerciaux », et ce à El Tarf et à Bouchebka (w.Tébessa).
Ces projets s’ajoutent aux cinq zones franches décidées dans les wilayas d’El Oued, Illizi, In Guezzam, Bordj Badji Mokhtar et Tindouf, à travers lesquels, l’Algérie tend à renforcer ses échanges commerciaux avec les pays limitrophes.
Le secteur a entamé, en coordination avec les autres secteurs concernés, l’élaboration de textes d’application relatifs à la création de zones franches, « sur la base d’une étude approfondie de tous les aspects matériel et humain, tout en tenant compte avec minutie de chaque étape de réalisation et en traçant des objectifs préalables en vue de réaliser l’efficacité et l’efficience économiques indispensables pour leur pérennité, étant des zones soumises à un régime particulier ».
Estimant que les zones franches proposées à cette étape « sont des projets pilotes, permettant de mettre en place les procédures et mécanismes pratiques et efficaces pour la création, la gestion et la réussite de ce type de zones, M. Zitouni a précisé que ces zones seront « dédiées à l’exportation des produits nationaux vers les pays voisins, en sus de l’accès aux marchés prometteurs de l’Afrique de l’Ouest ».
En réponse à la question d’un député sur la préservation du pouvoir d’achat du citoyen, M. Zitouni a affirmé que l’approche adopté par le Président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, et les mesures proactives prises « ont permis cette année d’assurer la disponibilité des produits de large consommation, notamment durant le mois de Ramadan dernier, en dépit de la « conjoncture internationale » difficile et de la flambée des prix, en raison des crises internationales ».
« La consécration d’une approche participative incluant les élus, les associations, les consommateurs et les producteurs, a contribué à l’état de satisfaction des citoyens, en vue de dépasser une zone de tension dans le contexte des développements internationaux et faire face aux répercussions du soutien de l’Algérie aux causes justes dans le monde, particulièrement la question palestinienne, ce qui a permis le renforcement du front intérieur et la promotion du sentiment d’appartenance du citoyen », a-t-il estimé, soulignant que « l’abondance qui a caractérisée cette année se poursuivra pour les années prochaines ».
Concernant l’importation des viandes, le ministre a fait état de l’importation de 26.300 tonnes de viandes rouges et 10.000 tonnes de viandes blanches depuis le début de l’année, précisant que l’opération se poursuivra jusqu’à la fin de l’année en cours, parallèlement aux efforts consentis par le secteur de l’agriculture pour garantir la disponibilité des viandes sur les marchés à des prix raisonnables.
Quant à la disponibilité des climatiseurs à des prix raisonnables, M. Zitouni a affirmé que la production locale qui a atteint 1,5 millions d’unités/an, couvre la demande nationale, estimée à 1,2 million d’unités/an.
Donc, il n’est pas nécessaire d’en importer, a-t-il estimé.
Une réunion au ministère du Commerce a regroupé des producteurs de ce secteur en vue de créer un réseau de distributeurs et de fabricants et de connaître les prix appliqués de l’usine jusqu’au consommateur afin de maitriser le prix final, selon le ministre.
Quant au refus de quelques commerçants et importateurs d’exploiter les marchés de gros réalisés par la Société de réalisation et de gestion des marchés de gros (MAGROS), M. Zitouni a fait état du lancement des procédures et des mesures pour imposer l’exploitation de ces espaces et éliminer les réseaux du marché parallèle, d’autant que leur construction a coûté à l’Etat près de 16 milliards de DA.
Au terme de son intervention, le ministre a indiqué que le nouveau palais des expositions, dont la première pierre avait été posée par le Président de la République en 2022, sera prêt pour abriter la Foire commerciale intra-africaine en septembre 2025.

(APS)
58033/58999/331/770 00000000000 Hadj/saison estivale: MM. Zahana et Belmehdi s’enquièrent des préparatifs au niveau de l’Aéroport international d’Alger Le ministre des Transports, Mohamed El-Habib Zahana, et le ministre des Affaires religieuses et des Wakfs, Youcef Belmehdi, ont effectué, jeudi, une visite d’inspection à l’Aéroport international d’Alger Houari-Boumediene pour s’enquérir de sa capacité à assurer le déplacement des hadjis vers les Lieux-Saints, tout en inspectant les mesures prises pour accueillir les membres de la communauté nationale établie à l’étranger pendant la saison estivale, a indiqué un communiqué du ministère des Transports.
La visite s’est déroulée avec la participation du Directeur général des Douanes, le Général Major Abdelhafid Bakhouche, du Directeur général de l’Office national du pèlerinage et de la Omra (ONPO), Salah Bouterfa, des cadres du ministère des Transports et des responsables des compagnies aériennes, ajoute le communiqué.
Les ministres ont sillonné « les différentes structures et équipements dont la zone de traitement et de transfert des bagages, les guichets d’orientation et de contrôle, inspectant les mesures de passage et les correspondances des lignes internationales », lit-on dans le communiqué qui ajoute que MM. Belmehdi et Zahana « ont écouté à l’occasion des explications sur l’ensemble des procédures et mesures prises ».
Un total de 14.387 pèlerins seront transportés via l’Aéroport international d’Alger cette année, provenant des wilayas d’Alger, de Chlef, de Blida, de Médéa, de Boumerdès, de Tipaza, de Béjaïa, de Tizi-Ouzou, de Bouira, de Ain Defla, de M’sila, de Tissemsilt et de Bordj Bou Arreridj.
A cette occasion, le ministre du Transport a souligné « l’impératif de fournir toutes les capacités et les moyens matériels et humains, pour la meilleure prise en charge des voyageurs transitant par l’Aéroport international d’Alger, et la coordination entre l’ensemble des intervenants pour ajouter plus de souplesse et simplifier les procédures, d’autant plus que l’Aéroport international d’Alger dispose de toutes les conditions nécessaires pour jouer son rôle de hub aérien au niveau continental et international à travers les capacités d’accueil, les équipements et les mécanismes mis en place », selon la même source.
M. Zahana a également incité, selon le communiqué, « à donner la priorité à la sécurité et à la réduction de la durée du traitement des vols de départ et d’arrivée au niveau de l’Aéroport, outre, l’accélération de la livraison des bagages, la mise en place des moyens de confort et d’hygiène des lieux et des sanitaires, et il a ordonné de créer une commission pour suivre le déroulement de l’organisation de ces deux saisons ».

(APS)
58392/58836/118/770 000000000000 Algérie/UE: nécessité d’élargir et de renforcer les investissements européens en Algérie (Aoun) Le ministre de l’Industrie et de la Production pharmaceutique, Ali Aoun, a affirmé, jeudi à Alger, que la plupart des investissements européens directs en Algérie restait limitée au secteur des hydrocarbures, d’où la nécessité de les élargir et de les renforcer pour réduire la disparité qui caractérise les échanges commerciaux entre les deux parties.
M. Aoun s’exprimait lors d’une Conférence organisée par la Délégation de l’Union européenne (UE) en Algérie, en collaboration avec l’Agence algérienne de promotion de l’investissement (AAPI), sous le thème: « Explorer les nouvelles opportunités d’investissements et de Nearshoring en Algérie », en présence du chef de la Délégation de l’UE en Algérie, l’ambassadeur Thomas Eckert, de la directrice générale des impôts, Amel Abdelatif, du directeur général des Douanes, le Général Major Abdelhafid Bakhouche, du directeur de la Banque nationale de l’habitat, Ahmed Belayat, du président du Conseil du renouveau économique algérien (CREA), Kamel Moula, de représentants de plusieurs départements ministériels et de directeurs généraux d’organismes publiques et entreprises économiques.
Le ministre a rappelé que l’Algérie, « qui a toujours été un partenaire fiable et sûr pour les pays européens, notamment dans le domaine de l’approvisionnement en gaz naturel, aspire à « établir des relations de coopération et de partenariat qui répondent à nos aspirations mutuelles en matière de développement économique ».
Pour M. Aoun, le thème de cette rencontre « s’inscrit dans la nouvelle vision économique de l’Algérie et constitue une opportunité pour formuler une approche commune en vue de renforcer la coopération entre l’Algérie et l’UE ».
Ainsi, le ministre s’est dit convaincu que « le nouveau départ ne peut se réaliser qu’avec la participation de tous les acteurs, notamment les investisseurs et les hommes d’affaires des deux côtés », appelant à « intensifier les contacts et les rencontres pour établir des relations basées sur le principe gagnant-gagnant ».
M. Aoun a, en outre, souligné que « la coopération ne saurait être fructueuse, que dans le contexte d’un environnement sûr et stable qui renforce la confiance des acteurs économiques et leur octroie les garanties et les mesures incitatives », rappelant dans ce contexte que « l’Algérie, sous la conduite du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, a initié la concrétisation d’un saut qualitatif en matière de réformes économiques, notamment le cadre juridique relatif aux hydrocarbures, aux finances et à l’investissement ».
Au plan régional, le ministre a rappelé que l’Algérie a adhéré à la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAF), soulignant son ambition de devenir « une passerelle entre les deux continents africain et européen », notamment de par son positionnement géographique, ainsi que ses investissements dans les infrastructures (routes, zones industrielles, ports), en vue de faciliter les échanges commerciaux et l’accès des investisseurs aux marchés africains, ce qui est « un catalyseur supplémentaire, à même de lancer des investissements communs dans les domaines de l’industrie, de l’agriculture, du commerce et des services ».
Partant, le ministre a souligné que « l’Algérie vit une nouvelle ère et est engagée à jeter des passerelles de coopération avec l’Union européenne (UE), en tant que partenaire historique », rappelant que l’accord de partenariat de part et d’autre a érigé l’UE en 1er partenaire de l’Algérie, durant plusieurs année, et que le volume des échanges commerciaux entre l’Algérie et l’UE, s’est élevé à 46,5 Mds USD, durant les 11 premiers mois de l’année 2023.
De son côté, le président du CREA a indiqué que l’Algérie dispose d’atouts qui l’érigent « en une force économique régionale stable, à la faveur de la mutation profonde et globale du système économique », relevant « le passage opéré d’une économie de rente à une économie d’initiative et d’innovation, et de stabilité du système juridique et d’équité entre tous les investisseurs », ce qui est, selon lui, « un élément fondamental dans l’amélioration du climat des affaires ».
Quant au chef de cabinet du Vice-président de la Commission européenne chargé du Commerce et de l’investissement, M. Dombrovskis, il a affirmé que l’Algérie est « un pays clé qui attire les investissements étrangers », soulignant la mise en place d’un plan définissant les activités qui attirent les investissements, pour collaborer avec les opérateurs étrangers en vue de les inciter à investir en Algérie.
Cette conférence était une opportunité pour les parties prenantes, privées et publiques, de procéder à un échange de vues sur le climat d’affaires et les investissements en Algérie, ainsi que sur le partenariat euro-algérien en matière d’investissement.
Dans le même contexte, les participants ont examiné les opportunités d’investissements en Algérie et celles du Nearshoring européen, desquelles l’économie algérienne peut tirer profit, ainsi que les perspectives d’intégration économique euro-algérienne et l’expansion vers le continent africain.
Cette conférence s’inscrit dans le cadre d’exécution du programme de coopération entre le ministère des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l’étranger avec l’UE à travers le projet du « Partenariat euro-algérien pour l’investissement durable » lancé en 2023, aux fins de promouvoir le partenariat économique entre les deux parties à travers la promotion des investissements étrangers directs et les projets de Nearshoring européen.
(APS)
58360/58033/58999/118/770 00000000000 Le DGSN rencontre le chef du Département Anti-drogue de New York Le Directeur général de la Sûreté nationale (DGSN), M. Ali Badaoui, et la délégation l’accompagnant, ont rencontré le chef du Département Anti-drogue de New York, avec lequel ils ont abordé les voies et moyens de coopération bilatérale en matière de lutte contre les défis inhérents à la lutte contre les stupéfiants, sous leurs diverses formes, a indiqué, jeudi, un communiqué de la Direction générale de la Sûreté nationale (DGSN).
« Poursuivant la visite de travail qu’il effectue aux Etats-Unis d’Amérique (USA), le DSGN, ainsi que la délégation qui l’accompagne, ont rencontré le chef du Département Anti-drogue de New York, avec lequel ils ont passé en revue les voies et moyens de coopération avec les appareils spécialisés de la DGSN, à même de faire face aux défis inhérents à la lutte contre les stupéfiants, sous toutes leurs formes, dont les drogues de synthèse et la résine de cannabis ».
A cette occasion, ajoute le communiqué,  » la délégation s’est rendue aux différents départements du laboratoire n’analyse chimique des stupéfiants relevant dudit Département, où elle a reçu de plus amples explications données par des experts en la matière, autour des équipements et des procédés d’analyse chimique des stupéfiants ».
La délégation de la DGSN s’est également rendue au siège de la Police de New York, où il a été procédé à « un échange d’expériences et de vues autour des défis sécuritaires auxquels fait face la police dans les deux pays dans les domaines de la sûreté urbaine, de la sécurité publique, de transport par tunnels et de sécurisation des grandes manifestations », poursuit la même source.
Dans le même cadre, la délégation algérienne a visité les services de la police aux frontières (PAF) entre les USA et le Canada.
Les rencontres avec les responsables des passages frontaliers ayant permis de « s’enquérir des moyens employés et des procédés de contrôle du mouvement frontalier des personnes, des véhicules et des marchandises, ainsi que des mécanismes modernes d’échange d’information, en vue d’assurer la sécurité aux frontières ».

(APS)
58033/118/770 00000000000 Visite d’une délégation vietnamienne au siège de l’AIARA Une délégation composée de plusieurs membres du Parti communiste vietnamien a effectué jeudi une visite au siège de l’Association internationale des Amis de la Révolution algérienne (AIARA) à Alger.
La délégation vietnamienne, conduite par Lai Xuan Mon, membre du comité central du Parti communiste vietnamien, vice-président permanent de la commission centrale de communication et d’éducation et l’ambassadeur du Vietnam en Algérie, Tran Quoc Khanh, a été reçue par le président de l’AIARA, le moudjahid et ancien diplomate Noureddine Djoudi.
Lors de cette visite de courtoisie amenée à déboucher sur une coopération future avec l’AIARA, Lai Xuan Mon a notamment inauguré une plaque commémorative de l’arbre implanté à la mémoire du général Giap, héros de l’indépendance vietnamienne et grand ami de l’Algérie.
La délégation vietnamienne et les membres de l’AIARA ont ensuite discuté de l’histoire des relations entre l’Algérie et le Vietnam et notamment évoqué la grande amitié qui existait entre l’ancien président Houari Boumediene et le général Giap.
« Les liens entre l’Algérie et le Vietnam sont très spéciaux en raison d’un combat commun », a indiqué M. Djoudi dans une déclaration à l’APS, relevant que le Vietnam était le symbole de la lutte d’un peuple avec peu de moyens contre une grande puissance.
M. Djoudi a souligné que l’Algérie et le Vietnam entretiennent une relation « très étroite », rappelant que le général Giap effectuait des visites régulières en Algérie.
A cet égard, il a souligné que la profondeur des relations entre les deux pays a poussé l’AIARA à honorer la délégation du Vietnam, « un pays qui partage les mêmes valeurs et principes avec l’Algérie ».

(APS)
55774/371/400/172 ttt 0000000000000

(APS)
58999/331/770 00000000000 00000000 APN : élaboration d’un projet de décret exécutif fixant les conditions et modalités d’exercice de la profession de pharmacien (Saihi) Le ministre de la Santé, Abdelhak Saihi a fait état, jeudi à Alger, de l’élaboration d’un projet de décret exécutif fixant les conditions et modalités d’exercice de la profession de pharmacien d’officine.
Lors d’une plénière à l’Assemblée populaire nationale (APN), consacrée aux questions orales destinées à nombre de membres du gouvernement, M. Saihi a affirmé qu' »il sera procédé, prochainement, à la révision des textes réglementaires fixant les conditions d’installation, d’ouverture et de transfert d’une officine », ajoutant qu' »un projet de décret exécutif fixant les conditions et modalités d’exercice de la profession de pharmacien d’officine et de pharmacien assistant, a été élaboré », et ce en application des dispositions de l’article 250 de la loi n 18-11 du 2 juillet 2018, relative à la santé.
Concernant l’ouverture de pharmacies et de magasins d’optique médicale dans les régions enclavées, le ministre a rassuré que « les nouvelles normes qui seront adoptées, à l’avenir, ne seront pas les mêmes », précisant que « la règle d’une pharmacie pour 5.000 habitants n’est pas raisonnable et peut changer même dans la même wilaya ».
Et de relever que « la pharmacie n’est pas seulement un commerce, mais un service public qui est, de ce fait, soumis aux règles de service du citoyen ».
Pour le ministre, ce projet mettra fin à « l’injustice » commise à l’encontre de certains jeunes pharmaciens qui sont au chômage et sans emploi, en raison de cette règle.
Répondant à une question sur l’adoption d’un barème de référence pour les tarifs des prestations médicales, le ministre a estimé que cette adoption se veut la première étape pour asseoir un système de conventionnement qui garantit au citoyen une couverture des coûts de ses soins, à travers les caisses de sécurité et d’aide sociales.
Le Premier responsable du secteur a, en outre, rappelé que le gouvernement avait essayé plusieurs fois de revoir ce point, à travers ce « système de conventionnement, en cours d’élaboration, notamment avec le ministère du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité sociale, d’autant plus que la question du plafonnement des prix sera tranchée ».
Abordant, par ailleurs, la réalité des services de santé dans le Grand Sud, notamment au niveau de la wilaya de Bordj Badji Mokhtar, M. Saihi a souligné que « les meilleurs hôpitaux pour le traitement du cancer se trouvent dans le Sud », mais certaines « lacunes » ont été enregistrées dans la prise en charge des patients qui seront traitées.
00000000 M. Bentaleb met en exergue l’importance de la numérisation dans le renforcement de la qualité des prestations fournies en matière d’emploi Le ministre du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité sociale, Fayçal Bentaleb, a mis en exergue, jeudi à Alger, l’importance de la numérisation dans le renforcement de la qualité des prestations fournies par le secteur au citoyen, notamment en matière de l’emploi.
Lors d’une séance plénière à l’Assemblée populaire nationale (APN), consacrée aux questions orales, M. Bentaleb a mis en avant les efforts du ministère visant à moderniser les instances relevant son secteur, à l’instar de l’Agence nationale de l’emploi (ANEM), dans le but de renforcer la qualité des prestations publiques fournies au citoyen.
Dans le même contexte, le ministre a précisé que l’adoption de la numérisation, notamment dans la gestion du domaine de l’emploi, est à même de « simplifier les opérations relatives aux offres et aux demandes d’emploi, outre la gestion et l’amélioration des mesures d’accompagnement et d’orientation en la matière ».
S’agissant du dispositif d’activités d’aide à l’insertion sociale, le ministre a mis en avant « la régularisation de la situation des affiliés à ce dispositif par leur intégration dans des postes d’emploi permanents, en vue d’améliorer leur situation socio-professionnelle », en concrétisation « de la politique de l’Etat pour l’appui et la promotion de l’emploi rémunéré ».
Dans le même contexte, M. Bentaleb a rappelé que ces mesures interviennent « en vertu du décret exécutif no 85-22 du 27 février 2022, fixant les modalités et les conditions de la conversion des contrats du dispositif d’activités d’intégration sociale en contrats à durée indéterminée », ajoutant que le nombre de bénéficiaires « a atteint 175.737 bénéficiaires ».
Par la même occasion, le ministre a rappelé les mécanismes adoptés dans le domaine de l’emploi, à l’instar de l’inscription au système « El Wassit » auprès des services de l’ANEM, ainsi que l’orientation, le conseil et l’accompagnement dans la recherche d’un poste d’emploi.

(APS)
58836/118/770 0000000000 M. Arkab prend part en Italie au Forum international sur la stratégie européenne en Méditerranée Le ministre de l’Energie et des Mines, Mohamed Arkab, prend part aux travaux de la 3e édition du Forum international « Vers le sud: la stratégie européenne pour une nouvelle saison géopolitique, économique et socioculturelle en Méditerranée », qui se tiendra sous l’égide du gouvernement italien, les 17 et 18 mai courant, à Sorrente (Italie), a indiqué, jeudi, un communiqué du ministère.
Le ministre sera accompagné, lors de cette rencontre, d’une délégation composée des Présidents Directeurs Généraux (PDG) de Sonatrach et de Sonelgaz, et de cadres du ministère, et ce, à l’invitation de l’établissement « The European House-Ambrosetti », sous la présidence de M. Valerio De Molli.
Cette édition verra la participation de plusieurs ministres, à l’instar du ministre des Affaires européennes, de l’Italie du Sud, de la politique de cohésion, et du plan national pour la reprise et la résilience, M. Raffaele Fitto, du ministre de la Protection civile et des Politiques marines, M. Nello Musumeci, outre des présidents de sociétés italiennes et étrangères, de politiciens, d’économistes et d’intellectuels, notamment de la région de la méditerranée, selon la même source.
Ce Forum vise à « créer un espace d’échange et de concertation sur les perspectives de la croissance dans le sud de l’Italie et les pays de la méditerranée, ainsi qu’à construire une plateforme entre les secteurs public et privé aux niveaux national et international, regroupant les meilleurs acteurs privés et institutionnels et les représentants du monde académique et de la recherche dans la région de la Méditerranée, dans une initiative de « Think Tank ».
Les travaux de la 3e édition du Forum porteront principalement sur la situation géopolitique actuelle et ses répercussions socioéconomiques, la sécurité alimentaire, ainsi que sur la nouvelle vision énergétique au Sud, en Méditerranée et en Italie, selon le communiqué.

(APS)
58836/331/770 000000000000 Le président du CNRST reçoit l’ambassadeur du Qatar à Alger (communiqué) APS FR XML (FTP) 118 Le président du Conseil national de la recherche scientifique et des technologies (CNRST), Mohamed Tahar Abadlia, a reçu, jeudi, l’ambassadeur de l’Etat du Qatar à Alger, M. Abdelaziz Ali Al-Naama, avec lequel il a abordé la question de coopération bilatérale en matière de recherche scientifique et d’innovation technologique, indique un communiqué du CNRST.
Les deux parties ont évoqué la nécessité de bâtir un partenariat, à travers « l’aménagement d’un cadre de coopération entre le CNRST en Algérie et son homologue qatari, à travers l’échange d’expertises et de délégations des deux pays, dans l’objectif de réaliser un développement durable au profit des deux peuples », lit-on dans le communiqué.
A ce propos, M. Abadlia a souligné « le rôle efficace et constructif joué par le CNRST, à travers les missions constitutionnelles qui lui sont assignées, estimant que « le champ de coopération internationale avec les Conseils homologues dans les autres pays, devront contribuer à asseoir des bases solides pour cette instance de consultation ».
De son côté, l’ambassadeur de l’Etat du Qatar s’est félicité des « relations ancrées aux plus hauts niveaux », ajoutant que les relations algéro-qataries sont « sincères et solides et se sont concrétisées par des partenariats multiples, des accords et prochainement, par la formation de la grande commission mixte », tout en soulignant la nécessité de son appui.
Selon le diplomate qatari, la recherche scientifique et technologique « est un facteur fondamental pour le progrès des Etats et les conditions sont réunies en vue de la construction et de la concrétisation de cette coopération à l’avenir, d’autant que la concordance des vues, contribue à la création des opportunités et de la coopération », a conclu le communiqué.

(APS)
58033/118/770 0000000000 Conférence sur les contributions et efforts de l’Algérie pour la paix et la sécurité internationales Les participants à une conférence, animée jeudi à Alger à l’occasion de la Journée internationale du vivre-ensemble en paix, ont mis en avant les contributions de l’Algérie et ses efforts dans la réalisation de la paix et de la sécurité internationales, partant de sa doctrine ancrée quant à la défense des causes de libération pour que la paix règne dans les quatre coins du monde. Placée sous le thème « La paix et le double-standard, la doctrine de l’Algérie quant à la contribution à la paix internationale », la conférence a été organisée par la Radio nationale, en collaboration avec l’Ecole nationale supérieure de sciences politiques à l’occasion de la journée internationale du Vivre-ensemble en paix célébrée le 16 mai de chaque année.
Ont participé à cette conférence, le directeur de l’Ecole nationale supérieure des sciences politiques, Zakaria Ouahbi, l’enseignant de droits et relations internationales, Abdelkader Boubekeur, et le directeur du Centre arabe d’études politiques et sociales de Genève, Riadh Sidaoui (en visio-conférence).
Les conférenciers ont rappelé l’origine de l’idée du Vivre-ensemble initiée par l’Algérie, ainsi que les efforts considérables menés par la diplomatie algérienne en vue de réaliser la paix et la sécurité internationales et défendre les peuples opprimés en quête d’indépendance et d’autodétermination, à l’image de la Palestine et du Sahara occidental.
Les participants ont, également, mis l’accent sur l’action de l’Algérie au sein du Conseil de sécurité, en sa qualité de membre non-permanent, et les nombreux appels adressés dans les foras régionaux et internationaux pour une paix juste et durable, à même d’instaurer la sécurité et la stabilité dans le monde.
Ils ont évoqué aussi les conflits et les guerres que connait le monde, notamment l’occupation sioniste de la Palestine, le génocide à Ghaza et l’occupation marocaine du Sahara occidental.
Les intervenants ont mis en exergue les efforts de l’Algérie, de par sa position au Conseil de sécurité, en soutien au peuple palestinien et à toutes les causes justes, appelant la Communauté internationale à assumer ses responsabilités et résoudre définitivement les conflits dans le monde.
(APS)
58392/118/770 00000000000

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