
Mascara : lancement de chantiers pour le développement de la ville thermale de Bouhanifia
Le premier responsable de la wilaya, Fouad Aïssi, a effectué jeudi dernier une visite de travail à la ville de Bouhanifia accompagné de plusieurs responsables de plusieurs secteurs pour donner un élan de développement à la ville.
Le wali a commencé sa visite en supervisant le lancement des travaux d’aménagement de la place publique au centre de Bouhanifia, adjacente à la station thermale. Cette opération s’inscrit dans le cadre des efforts visant à améliorer les conditions de vie des habitants et à renforcer l’attractivité touristique de cette ville, connue pour son caractère ancestral de station thermale. Ensuite, le wali et sa délégation se sont rendus au salon VIP de l’hôtel public Béni Chougrane, où ils ont écouté une présentation détaillée du directeur de la station thermale et des bureaux d’études sur le projet de développement et de modernisation de ladite station située au centre-ville de Bouhanifia.
Ce projet comprend également la réhabilitation et la modernisation de plusieurs installations touristiques et hôtelières, telles que le Grand Hôtel, l’Hôtel Béni Chougrane et l’Hôtel Hammamet. Il comprend également la réhabilitation de plusieurs piscines thermales rattachées à la station thermale. Lors de cette visite, Aïssi a insisté sur la nécessité de sélectionner des matériaux de construction de haute qualité dans toutes les phases de construction, tout en veillant à l’intégration de la numérisation et des technologies modernes dans la gestion de la station et de ses installations, afin de transformer la ville de Bouhanifia en un pôle touristique intégré aux niveaux national et international.
Le wali a aussi inspecté le projet de restauration de la piscine thermale extérieure, puis les travaux de réhabilitation et de modernisation de l’Hôtel Hammamet, au centre de Bouhanifia. Le wali a, par ailleurs insisté sur l’éradication du commerce informel et les étales de vente d’articles au long des trottoirs afin d’organiser et d’encadrer les vendeurs.
M. Bekkar



