EDITO

C’est la rentrée !

Les éléments constitutifs d’une rentrée sociale en bon et dû forme, se font jour. La semaine prochaine est annonciatrice de la réouverture des écoles. Nos gamins et aussi nos jeunes hommes et jeunes filles rejoindront les bancs des classes et donneront les premiers signaux de la rentrée. Viendront ensuite les députés et membres du Conseil de la nation qui feront leur retour au sein des assemblées. La rentrée parlementaire est attendue, en ce sens que cela marquera le début effectif de l’activité politique. Les lois commenceront à tomber sur les bureaux de MM Boughali et Goudjil. Quant aux parlementaires, ils auront la mission d’animer la scène politique au même titre de l’ensemble des partis de la scène nationale qui participeront, à n’en pas doute, au dialogue nationale ouvert, annoncé par le président de la République.

Nous somme pour ainsi dire à une dizaine de jours seulement d’une plongée dans le brouhaha d’une nouvelle année qui promet beaucoup de bonnes choses pour le pays, en ce sens qu’elle intervient au lendemain d’une élection présidentielle. Celle-ci a confirmé l’ancrage républicain de la société algérienne et fait faire à la nation un pas en avant vers une démocratie strictement algérienne, loin des influences de toute sorte. Concrètement, le gouvernement Larbaoui, missionné par le chef de l’Etat pour évacuer les affaires courantes, passera le témoin à un nouvel exécutif, chargé de poursuivre l’œuvre présidentielle pour les cinq prochaines années.

Cela pour l’aspect officiel, avec ses « incontournables». Pour le reste, on retiendra que nous entrons dans une nouvelle saison. A cela, il n’est pas besoin de rappeler que l’humanité moderne accueille l’automne à peu près de la même manière un peu partout dans le monde. L’Algérie ne fait pas exception. Cela pour dire que le pays est véritablement sur la même longueur d’onde, quoi qu’en disent les détracteurs.

Il n’est pas dit que l’année 2024-2025 soit la plus belle de toutes, mais il est entendu que les Algériens connaissent la direction que prend leur pays. Le président de la République a cité des échéances et des réalisations à court et moyen terme. c’est dire que la société a une mesure d’appréciation du fonctionnement du pays. Le reste est une question de confiance, de conviction et de volonté. Chaque citoyen a un rôle à jouer dans ce qui se construit en Algérie. Contentons-nous donc de faire ce qu’il faut pour aider le pays à avancer. Le président élu ne demande pas plus. Pour ce qui le concerne, il est déjà à la tâche. On en aura l’illustration au premier Conseil des ministres qui ne saurait tarder. C’est dire que la rentrée vaut pour tout le monde, sans exception.

Par Nabil.G

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