L’origine du mal
L’entité sioniste et ses alliés occidentaux ont beau tenter de masquer les graves dérives de l’armée sioniste à Gaza et en Cisjordanie, les images d’exécutions massives perpétrées par ces criminels en treillis ont fini par faire le tour des réseaux sociaux. Ces vidéos, témoignages flagrants de violences extrêmes, constituent aujourd’hui des preuves documentées du génocide sans nom que pratiquent les sionistes sur des innocents palestiniens. La brutalité de ces exactions dépasse l’entendement : maisons rasées, familles entières exterminées, enfants assassinés sous les décombres, tout cela dans un silence complice de la communauté internationale dont certains dirigeants préfèrent détourner le regard ou minimiser l’ampleur de la catastrophe.
Nous nous retrouvons dans cette partie du monde dite « libre », où les autorités manifestent une soumission totale au diktat du sionisme international. Ces dirigeants, censés défendre les principes d’humanisme et de justice, se montrent incapables ou peu disposés à agir contre ces atrocités. Les bandes armées sauvages qui obéissent prioritairement aux dirigeants de Tel-Aviv agissent en toute impunité, défiant l’autorité de l’ONU et détruisant l’humanité, protégées par une poignée de dirigeants qui n’ont d’humain que le nom. La complicité implicite ou explicite de ces gouvernements occidentaux alimente un cycle de un génocide sans nom, renforçant la domination d’un projet colonial basé sur l’expulsion, la terreur et la dépossession.
Il a suffi que quelques présidents ou premiers ministres européens prononcent le mot « État de Palestine » pour faire vaciller le trône de cette entité illégitime. La dernière sortie d’Emmanuel Macron, qui a évoqué la nécessité de la reconnaissance de la Palestine, a suscité des réactions horrifiées dans le camp des génocidaires. Mais ne nous trompons pas. Cet homme roule sa langue sept fois dans sa bouche avant d’évoquer l’entité sioniste, craignant de brusquer un lobby puissant et influent. Lorsqu’il en parle, c’est pour incriminer un seul individu, évitant de nommer l’origine du mal : le système colonial, l’occupant, l’apartheid déguisé en prétendue démocratie. Il n’entend pas les cris des enfants affamés, ni le bruit des bombes qui ont fait plus de 60 000 morts en quelques mois. Ces chiffres, souvent minimisés ou ignorés par la presse occidentale, témoignent pourtant de la gravité d’une agression sans précédent dans l’histoire moderne de l’humanité.
Ce silence complice, cette inaction volontaire, alimentent le sentiment d’une injustice systémique et d’un mépris total pour la vie humaine. Les mécanismes internationaux, sous influence des puissances dominantes, ont abandonné leur rôle de protecteurs pour devenir complice d’un massacre planifié. La solidarité avec le peuple palestinien doit dépasser les discours diplomatiques pour s’inscrire dans une mobilisation concrète et sans concession.
Par Nabil.G