Après sept années d’arrêt, en raison de différents impondérables, les travaux d’achèvement consistant à la réalisation de dépendances, d’une aire de stationnement et autres équipements tout autour du siège de la nouvelle Sûreté urbaine de Bousfer, viennent enfin d’être lancés.
La structure en ellemême a été réalisée en 2016, cependant les travaux en question, qui devaient cibler ses abords immédiats, n’ont pas été lancés en raison entre autres de la défection de l’entreprise, à laquelle a été confiée à l’époque la réalisation de ce projet. En effet, selon le constat établi en ces lieux, des travaux d’aménagement allaient bon train et des engins procédaient au terrassement de la superficie cernant la structure en question où seront installés divers équipements. Contacté à ce sujet, le chef de daïra d’Aïn El Turck a fait savoir que «le siège de cette nouvelle sûreté urbaine sera réceptionné entre la fin du mois de février et la mi-mars ».
Notre interlocuteur a également tenu à signaler dans ce même contexte qu’un poste de la gendarmerie nationale sera bientôt réalisé dans le village Fillaoucène, communément appelé El Qaria.
L’ex-cantonnement de la garde communale, sis dans ledit village, sera pour ce besoin transformé en poste de la gendarmerie. Celui-ci aura pour principale mission d’assurer la sécurité pour la population de ce village, qui est confrontée à une démographie galopante.
Le nombre des habitants de cette partie de la daïra d’Aïn El Turck, dépendante administrativement de la commune de Bousfer, autrefois à vocation agropastorale, a encore augmenté notamment avec la distribution, un peu plus de quatre mois auparavant, de 500 logements de formule Lpl, dans une cité réalisée juste en face de l’entrée d’El Qaria.
Rachid Boutlélis