En Afrique, dans la région Mena (Moyen Orient et Afrique du Nord) et dans le bassin méditerranéen, on respire mieux, depuis l’élection du président de la République, Abdelmadjid Tebboune.
En accédant, à la magistrature suprême, le président Tebboune avait conscience de ce qui l’attend sur le front interne et sur le front international. Plus que des mots, le pays a un grand besoin d’actes. Le chef de l’Etat n’a pas perdu son temps, il a très vite lancé les chantiers institutionnels, économiques et politiques pour changer la pratique du pouvoir et repenser un modèle démocratique qui était au pied du mur. Il fallait aussi redonner des couleurs à un appareil diplomatique désemparé.
Chose faite, en un laps de temps très court, le président Tebboune, a replacé l’Algérie dans l’échiquier mondial. Le pays, a retrouvé toute sa place dans le concert des Nations. Sous la direction du président Tebboune, l’Algérie veille à rester au c£ur du jeu international. L’Algérie, se retrouve sur tous les dossiers régionaux et internationaux. L’Algérie, est sur tous les fronts, elle occupe la scène, elle s’apprête à organiser un important sommet des pays Arabes, un sommet qui promet et qui se veut rassembleur, surtout en ces temps de grandes turbulences.
D’ailleurs, avec l’avènement du nouvel ordre mondial, le président Tebboune est fortement sollicité par ses pairs, pour remettre en selle, le mouvement des Non-alignés. L’Algérie est incontournable, la posture de son président qui n’oscille jamais d’une position à l’autre comme une pendule, contribue à son rayonnement.