Une tache sur la conscience de l’humanité entière
La vie moderne est une lutte incessante pour tous, peu importe la classe sociale. Dès la majorité, voire même plus tôt pour ceux qui n’ont pas la chance d’avoir des parents présents, chacun est entraîné dans une course contre la montre. Cette quête de perfection et de réussite engendre un stress constant, laissant peu de place à la réflexion sur un monde en mutation rapide. Ce phénomène n’est pas seulement individuel. Il touche également les nations. Dans ce troisième millénaire, peu de pays échappent aux conséquences dévastatrices du dérèglement climatique, des crises économiques et des conflits régionaux. Les spasmes que traverse le système financier mondial sont le résultat d’une interconnexion excessive.
Dans ce contexte déjà lourd, se dresse l’horreur du génocide en cours à Ghaza. Cette guerre immonde qu’impose l’entité sioniste à tout le monde arabe et musulman met en lumière la fragilité de notre humanité. Les images de destruction et de souffrance ne peuvent laisser quiconque indifférent. Les Palestiniens paient le prix fort d’ambitions géopolitiques injustes et d’une alliance occidentale qui a décidé d’en finir avec la civilisation islamique. C’est la réalité profonde qui explique le génocide en cours. Ce drame est une tache sur la conscience de l’humanité entière. Cette déshumanisation méthodiquement mise en œuvre par les sionistes ne peut être oubliée. C’est la marque du diable sur terre. Il n’y a pas d’autre expression pour qualifier les horreurs que commettent les hordes sionistes en Palestine.
L’on sent cette dimension satanique dans l’œuvre d’un Netanyahou qui relègue toutes les souffrances au second plan. A croire qu’il y a un but final à une entreprise qui ne peut sortir de l’imagination d’un être humain normalement constitué. Les barbares sionistes ne sont pas des être humains, dignes de ce nom. Ce sont des crapules qu’il faut absolument remettre à leur place d’objets du mal absolu.
Face à ces affreuses hordes, les nations du monde occidental se détournent et font mine de trouver des défis de toutes natures. Pour le reste du monde, ces peuples et ces nations qui ont crié récemment à l’Onu leur aversion de la folie sioniste, l’heure doit être à l’unité et à la solidarité, autant au sein des pays qu’entre eux, pour contrer cette dynamique destructrice. La vie est un combat, pour les Palestiniens, mais aussi pour l’humanité. Il est temps de redéfinir ce combat pour qu’il soit synonyme de paix, de justice et de respect de la dignité humaine. C’est ainsi que nous pourrons espérer un avenir où la lutte ne sera pas seulement une nécessité, mais une quête collective pour un monde meilleur.
Par Nabil.G