Ain Témouchent: plus de 90 projets de développement concrétisés dans les zones d’ombres de la daira d’Ain Larbâa
Pas moins de 94 projets de développement ont été concrétisés dans les zones d’ombre de la daira d’Ain Larbâa (Ain Témouchent), a indiqué jeudi le wali M’hamed Moumen.
Présidant les travaux du conseil exécutif de la wilaya élargi consacré au développement dans cette daira, M. Moumen a souligné que dans le cadre de la prise en charge des besoins des zones d’ombre, 94 actions de développement ont été achevées dans 43 zones d’ombre des communes de la daira.
« Le total des affectations financières consacrées à la réalisation de ces projets s’est élevé à 993 millions DA, ce qui a permis la concrétisation d’opérations d’aménagement pour l’amélioration du cadre de vie dans ces zones, situées dans les communes de Tamazoura, Sidi Boumediene, Oued Essabah et Ain Larbaa », a précisé le chef de l’exécutif d’Ain Témouchent.
Ces quatre communes ont également bénéficié, au cours des deux dernières années, de 2.383 aides à l’habitat rural ayant permis la réalisation de 2.087 habitations et 69 autres de même formule sont en cours d’exécution.
Il est prévu le lancement, prochainement, des travaux de réalisation de 227 autres habitations rurales inscrites dans le même quota, a souligné le wali d’Ain Témouchent.
La daira d’Ain Larbâa a enregistré, ces dernières années, la concrétisation de 630 projets d’investissement au titre du dispositif de l’Agence nationale d’appui et développement de l’entreprenariat (ANADE), de 254 autres au titre de la Caisse nationale d’assurance chômage (CNAC) et de 311 dans le cadre de l’Agence nationale de gestion du micro-crédit (ANGEM).
Différentes préoccupations ont été soulevées par les représentants de la société civile lors de cette réunion, portant notamment sur l’amélioration urbaine à travers les centres d’habitat de cette daira, ainsi que le transport.
Les présents ont également suggéré d’exploiter le barrage « Ghassoul », dans la commune de Tamazoura, dans l’irrigation agricole de la plaine de Mléta, qui occupe localement la première place pour la filière céréaliculture.
