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Coupure d’oxygène et décès de 5 patients au service de réanimation : l’EHU d’Oran dément

L’Établissement hospitalier universitaire 1e Novembre 1954 de l’USTO dément catégoriquement «la mort de 5 patients suite à la coupure totale d’oxygène dans le service de réanimation relevant des urgences médicales et chirurgicales du même hôpital, l’EHU 1e Novembre 1954» En démentant, le même Établissement hospitalier-universitaire explique qu’«il s’agit d’informations erronées n’ayant aucun fondement et que le fait relevé ne pourra aucunement provoquer la mort de personnes ».

Il s’agit, selon la même source, «de la faiblesse du débit d’oxygène qui a été relevé à l’aide des appareils des veille».
La direction générale du même hôpital a réagi sur le champ en mettant en place une cellule de crise composée des cadres administratifs, du chef de service des urgences médico- chirurgicales et autres employés du même service », a ajouté la même source.
Des mesures rapides ont, selon la même source, été aussitôt prises, celles-ci ont consisté en l’alimentation dudit service en oxygène à l’aide des bouteilles en plus de la mise en place de plusieurs autres équipements supplémentaires, en plus de la mobilisation du personnel médical et paramédical, déployé de sorte à y faire face».
«Réagissant à la hauteur de l’événement, les services techniques du même hôpital ont réussi à apporter des correctifs nécessaires s’imposant de manière concluante et, par delà, ils ont réussi à rétablir, et de surcroit en un laps de temps record, le débit d’oxygène sans que ce dernier ne fasse l’objet d’aucune coupure hormis les faits expliqués», a expliqué la même source.
Telle une traînée de poudre, «la rumeur de la coupure d’oxygène et de la mort de 5 patients en réanimation, a vite fait de circuler dans la contrée, à telle enseigne que le wali d’Oran, Said Sayoud, a dépêché vendredi soir le secrétaire général de la wilaya en vue de s’enquérir de la situation.
Sur le champ, l’envoyé spécial du wali a eu droit à des explications nécessaires avant qu’il ne reparte le coeur net.
L’établissement hospitalier- universitaire 1er Novembre 1954 déplore que «de telles rumeurs portent atteinte à l’image de l’hôpital », plaidant pour plus de conscience en évitant la précipitation dans la diffusion de telles informations n’ayant aucun fondement.
Yacine Redjami

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