Au bout des engagements

Les Algériens ont renouvelé leur confiance au Président Abdelmadjid Tebboune. Une confiance qui puise sa source, en grande partie, du premier mandat du chef de l’État. Un mandat, et c’est un fait rare en politique, qui a vu le Président Tebboune tenir la quasi-totalité de ses promesses formulées, faut-il le rappeler, en 54 engagements faits par écrit.
L’ homme a su patiemment et méthodiquement, malgré les aléas de la crise sanitaire du covid, engager de profondes réformes aussi bien politiques, institutionnelles qu’économiques. Une nouvelle Constitution, des élections locales et législatives, de nouveaux organismes notamment pour la jeunesse et la société civile et un nouveau code de l’investissement qui a clairement marqué l’intention du chef de l’État de mettre la relance de l’économie au plus haut de ses priorités.
Et les résultats n’ont pas tardé à venir. L’Algérie a connu un bond économique notable faisant d’elle la troisième puissance économique en Afrique et un partenaire incontournable dans le bassin méditerranéen, mais aussi avec des pays en Asie et en Amérique. Désormais il était clair pour beaucoup de monde qu’il fallait composer avec l’Algérie.
Cette franchise et cette sincérité ont pesé lourd dans le choix des Algériens ce samedi 7 septembre qui ont décidé de poursuivre le chemin du progrès et du développement avec Abdelmadjid Tebboune, lequel a promis ( et il tiendra ses promesses, car on connaît aujourd’hui le poids qu’il accorde à la parole donnée) lors de ses meetings pendant la campagne électorale, une batterie de mesures qu’il mettra en exécution pendant ce second mandat.
L’ espoir est grand aujourd’hui de voir l’Algérie atteindre ses objectifs économiques et entrer dans le cercle des pays émergents. Les Algériens savent aussi que les engagements et les objectifs sociaux seront menés au bout. Leur certitude vient du fait qu’ils ont eu à vérifier, pendant ces dernières années, l’obsession de l’homme qu’ils ont plébiscité à aller au bout de ses engagements et à ne jamais dévier du chemin qu’il a choisi de faire avec le peuple algérien.
Cette hosmose est appelée à se raffermir encore davantage car elle sera confortée par plus d’ouverture et d’implication de toutes les forces vives du pays. Il est sûr que la tâche ne sera pas facile et que les embûches seront nombreuses sur ce chemin, mais il est aussi dit et vérifié que la volonté d’un peuple uni et solidaire ne saurait être vaincue.
Par Abdelmadjid Blidi