EDITO

Un ramassis de criminels

Tout phénomène négatif dans toute société est, en quelque sorte, une plaie ouverte que les services de l’Etat tentent de réparer sans, jamais pouvoir en finir. Tous les peuples de la planète souffrent des déviances de certains parmi eux. Aussi, les instances nationales et internationales ont désigné des journées spécifiques destinées à rappeler à la société ses devoirs à l’endroit de catégories sociales qui se trouves être des victimes des déviants, des criminels sans foie, ni loi. La traites des êtres humains, la violence faites aux femmes, la maltraitance des enfants et l’infanticide sont tous consignés dans une longue liste de méfaits dont se rendent coupables certains hommes et femmes.
La désignation d’une journée pour chaque phénomène est en soi un acte louable, sauf que lorsqu’une guerre éclate ou n’importe quel autre autres événement mondial, les victimes vivent leur cauchemar dans l’indifférence. Il est évident que ces cauchemars ne valent pas les souffrances des enfants palestiniens massacrés par les bombes sionistes au su et au vu de l’humanité. Mais cet état de fait dramatique est du pain béni pour les désaxés et les criminels qui vaquent à leur sale besogne au moment où leurs compatriotes concentrent leur intérêt sur ce qui se déroule en Palestine.
Les crimes crapuleux se commettent aux quatre coins de la planète. Pour dramatiques et inacceptables, ce genre d’actes innommable sont systématiquement rangés dans la case faits divers. Ces assassinats, il y en a toujours eu et il y en aura malheureusement toujours dans tous les pays du monde. L’humanité est ainsi faite. Elle renferme des personnes formidables, toujours prêtes à rendre service et des monstres sanguinaires qui ne reculent devant rien pour assouvir leur besoins les plus primaires. Parmi ces monstres, les sionistes opèrent en Palestine. D’innocentes âmes sont perdues à jamais parce que le Premier ministre d’un État voyou assoiffé de sang a donné l’ordre de bombarder.
Mais si l’humanité est appelée à accepter les actes odieux commis par une minorité, et lutter pour en réduire le nombre du mieux que l’on peut, on ne peut concevoir que tout un Etat soit commandé par des fous à lier. On est poussé à se poser la question légitime de savoir la nature de la société israélienne. Comment peut-elle tolérer de compter une élite de criminels désaxés. Par quelle logique, des êtres humains normalement constitués cautionnent-ils l’assassinat froid de dizaines de milliers de leurs semblables.
On en vient à conclure qu’Israël n’a jamais été et ne sera jamais un Etat, comme le soutiennent ses alliés. Ce n’est qu’un ramassis de criminels.
Par Nabil.G

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